Découvrir le château de Miolans

Parfois le fait de découvrir une nouvelle culture et de visiter des lieux qui se trouvent en dehors de la ville et de ses routines est un bon moyen de déstresser, la raison pour laquelle « Le château de Miolans » est l’endroit idéal pour ce faire. Il est situé dans la vallée de l Isère et constitue l’un des patrimoines les plus importants de la région de Savoie. Il représente un des monuments historiques qui a le plus marqué la France grâce aux rôles qu’il a joués dans le pays. Au moyen âge il contrôlait l’une des principales routes italiennes qui permettaient à l’Italie de rejoindre la vallée de la Maurienne.

Le château de Miolans

Le château de Miolans est situé en Savoie sur la commune de Saint-Pierre-d’Albigny. Il est également localisé à 3,5 km du bourg. Il a une altitude de 550 m sur les massifs des Bauges. Il se trouve à proximité de la plaine de l’Isère. Le château dominait les routes de Chambéry à Lyon, Genève et Grenoble et les routes italiennes .Il faisait autrefois face à d’autres châteaux comme celui de l’Alton, de Chamoun ,de l’Heuille, de Châteauneuf et du Monmayeur. Il également entouré par plusieurs massifs montagneux.

Les potentiels du château

Le château de Miolan attire l’attention de plusieurs touristes chaque année. Il renferme plusieurs édifices anciens. Autrefois il jouait le même rôle que celui de la bastille pour les rois de France. On le surnommait « la bastille savoyarde ». Ce château constituait donc une grande prison d’Etat et cette forteresse était solidement érigée. Ces cellules étaient réservées aux prisonniers incarcérés sur ordre des ducs de Savoie. Au total il y a 12 prisons réparties entre le donjon et la tour Saint-Pierre. Ses cellules attirent beaucoup de visiteurs et par l’intermédiaire d’un guide, il était possible de savoir que les cellules comportaient des noms que le duc les attribuait à sa convenance L e meilleur s’appelait le paradis, en passant par le « purgatoire » et « l’espérance » et le plus difficile étaient« l’enfer » qui était réservé au prisonnier qui était condamné à mort.